 
      
         Bienvenu!
         Je suis le développeur du systèmes de ventilation avec récupération d'énergie "Seseragi", Christian Deutinger
         de l'Allemagne.
         
         "M.Deutinger" est assez long (et difficile en japonais), alor svous pouvez m'appeler simplement "Doi".
         
         Je travaille actuellement sur la production et la vente du système de ventilation sans conduit à récupération
         d'énergie "Seseragi®" au Japon, où les
         clients et les collègues sont japonais.
         
         Vous ne connaissez peut-être pas le terme "systèmes de transfert de chaleur", mais dans mon pays, l'Allemagne,
         les maisons écologiques sont un thème qui progresse rapidement, lesquelles un tel équipement est défini comme
         une nécessité.
         Lorsque vous ouvrez les fenêtres pour avoir de l'air frais, une grande partie de l'énergie créée par le
         chauffage ou le climatiseurest est perdue.
         Toutefois, lorsque vous utilisez un système de transfert de chaleur, vous pouvez ventiler tout en minimisant la
         perte d’énergie.
         
         On me demande souvent "Pourquoi es-tu venu au Japon?" ou "Pourquoi travailles-tu dans ce domaine?" et pour
         cette raison, j'aimerais
         vous raconter l'histoire secrète de la naissance du "Seseragi".
      
         Mon père adore les machines et il était mécanicien avant ma naissance.
         Il n'aimait pas seulement les machines, mais il se souciait beaucoup des autres. Pour autant que je me
         souvienne,
         il réparait les machines à laver de nos voisins gratuitement.
         
         Mon père a ensuite changé de travail pour devenir un mécanicien d’avion dans l’armée de l’air allemande.
         Quand j'étais enfant et que je visitais la base aérienne pour le voir, il me laisse m'asseoir dans le
         cockpit.
         Je me souviens être excité et de crier: "Je veux piloter l’avion!"
         
         À 11 ans, mon père a agrandi la maison de notre famille.
         Nous vivions déjà dans la maison depuis ma naissance, mais il y a ajouté 3 chambres supplémentaires.
         J'avais une soeur 9 ans plus jeune et un frère 13 ans plus jeune que moi, donc dans l’attente d’une famille
         plus grande,
         mon père a agrandi la maison.
         Entre le travail et les vacances, il l’a construit avec quelques-uns de ses amis, pour un total de 5 à 6
         personnes, en moins d’un an.
         Je n'en ai pas entendu parler au Japon, mais en Allemagne, les gens qui peuvent construire leur maison le font
         souvent eux-mêmes
         
         J'étais encore petit, alors j'ai aidé avec les tâches simples telles que percer des trous avec une perceuse à
         percussion,
         transporter des briques et clouer des clous.
         J'ai aussi participé à la création d'un mortier adhésif en mélangeant du sable, du ciment et de l'eau.
         
         Enfin, la maison était terminée.
         Une maison spacieuse et fraîche.
         Vivre dans la maison que mon père et moi avons construite était génial.
         
         En regardant le jardin, le gazon s’étalait merveilleusement, mais j’ai pensé «il devrait également y avoir un
         étang ici» et j’ai décidé de le construire.
         
         Lorsque mes parents étaient sortis pendant les vacances d’été, j’en ai profité pour me lancer.
         Le sol était assez dur et je n’ai pu creuser qu’un trou de 20 cm de profondeur.
         Bien que j'ai travaillé dur pendant environ deux semaines, la profondeur est restée la même, seule la surface a
         augmenté.
         
         Quand mes parents sont rentrés et ont découvert que j'avais creusé un trou dans leur jardin, ils se sont fâchés
         contre moi et m'ont interdit de creuser d'avantage.
         mais quand j'ai dit à mon père que je voulais faire un étang, il m'a compris et m'a aidé.
         Mon père était aussi l’ancien champion de poids et haltères de Bavière et, grâce à sa force, nous avons pu
         construire un bassin d’environ 160 cm de profondeur.
         
         Même si mon père m'a aidé, ça n'empêche, c'était ma première création,
         J'étais vraiment heureux de pouvoir construire un étang par moi-même
         
         Une fois l’étang terminé, j’ai empilés des pierres que j’ai ramassées dans le quartier au coin de l’étang pour
         faire un petit
         cascade et je suis allé au lac voisin pour prendre des élodées et des fleurs de lotus pour les planter dans mon
         propre étang.
         Décorer, c'est amusant, mais mon père m'a appris le vrai plaisir de créer.
      
         Mon père, étant un machine-nerd, aimait les nouvelles machines.
         
         Lorsque j'étais à l'école primaire, mon père a acheté un enregistreur vidéo et une chaîne Hi-Fi fabriqués au
         Japon .
         Attaché, était le manuel d'instructions rédigé en japonais.
         
         Le manuel en japonais était plus épais que celui en allemand.
         Bien sûr, je n'en ai rien compris.
         C'est à ce moment-là que j'ai pensé: 
         "Si je peux lire ceci, je peux comprendre plus détail!!"
         
         A cette époque, j'ai eu la chance de regarder une série de films japonais intitulée "Shogun", dans laquelle un
         étranger tombe amoureux
         avec la fille du shogun. Quand j'ai vu la fille du shogun, je me suis dit: "Je veux aussi épouser la fille d'un
         shogun!"
         J'ai enregistré "Shogun" avec l'enregistreur de mon père et l'ai regardé encore et encore.
         
         Un jour, je veux aller au Japon. 
            Le Japon était une sorte d'aspiration pour moi..
      
         L'Allemagne et le Japon ont des systèmes d'éducation différents.
         
         De 16 à 19 ans, quand les Japonais allaient au lycée, j'ai suivi une formation en mécanique de précision.
         En y repensant, je croix que mon père a joué un rôle déterminant dans mon choix de carrière.
         Créer des machines simples n'est pas intéressant, car tout le monde peut le faire, pensai-je et j'ai opté donc
         pour une ingénierie de haute précision.
         
         La formation a été dispensée selon un double système professionnel (système double). 
         À part l’Allemagne, il y avait d'autre pays où on n'apprend pas uniquement à l'école, mais on pratiquait dans
         une entreprise 3 jours par semaine. Les 2 autres jours à l’école, où on apprend les théories et où on développe
         des connaissances. 
         Je travaillais chez Siemens pour trois ans: planifier et programmer les machines, utiliser des outils machines,
         produire des pièces et assembler des pièces,
         créer et régler de nouvelles machines, réaliser de circuits de commande pour l'électricité, etc. En fabriquant
         des objets à la main, j'ai appris les bases de l'ingénierie.
         
         Après avoir terminé ma formation, à l’âge de 22 ans, j’ai poursuivi mes études à l’Université technique de
         Munich, la
         même que 17 lauréats du prix Nobel ont fréquenté. 
         À l’université, plutôt que de fabriquer à la main, j’ai appris l’ingénierie de précision et la micro
         technologie d'un
         point de vue plus théorique.
         
         Par conséquent, j'ai appris toute une gamme d'aspects sur la technologie de précision; d'une approche
         universitaire théorique
         à une expérience pratique de formation professionnelle.
         
         En tant qu'étudiant, je voulais suivre l'exemple de mon père. J'ai donc acheté un terrain à Munich et construit
         une maison à faible consommation d'énergie.
         
         En 1977, une loi sur l’isolation thermique a été promulguée en Allemagne afin de promouvoir le logement à basse
         consommation d’énergie et, par la suite, les maisons à faible consommation
         d'énergie sont devenues la norme.
         Ces lois ont été révisées et renforcées à plusieurs reprises, ce qui a permis de créer de plus en plus de
         maisons écologique.
         
         Bien que je n'en entende pas souvent parler au Japon, il n'est pas rare en Allemagne de construire une maison
         en tant qu'étudiant.
         Deux de mes amis ont également construit une maison pendant leurs études universitaires. 
         J'ai acheté un terrain vendu par l'Etat de Bavière. Si vous achetez des terres d’une municipalité, vous pouvez
         obtenir de bons offres
         abordable même avec le revenu d'un étudiant.
         J'ai obtenu un prêt bancaire pour acheter le terrain et les matériaux de construction, mais puisque j'ai le
         temps et la capacité de construire
         c’était une décision raisonnable de le faire en tant qu’étudiant.
         
         J'avais une idée vague sur la construction d'une maison, car j’avais aidé mon père et ses amis avant.
         J'ai donc commencé par dessiner des dessins techniques pour ma propre maison et, pendant que je cherchais des
         questions
         sur la construction dans des livres spécialisés, j'ai essentiellement fait mon propre travail de menuiserie.
         
         Bien sûr, mon père m'a aussi aidé.
         
         J'ai construit une maison avec un grands salons et salle à manger, 2 étages et un sous-sol.
         Un garage a été placé au-dessus du sous-sol, un chauffe-eau solaire a été ajouté et j'ai également pris en
         compte l'isolation.
         C'était amusant de construire une maison, mais le design intérieur et le jardinage étaient longs et
         coûteux..
         
         Bien que ce soit un éloge de soi, je pense que ma maison s’est révélée plus précise que celle que j’avais
         construite avec mon père.
         
         J'ai vécu dans la maison pendant plusieurs années, mais maintenant je la loue à un ancien collègue, car j'ai
         déménagé au Japon.
      
         Après avoir obtenu mon diplôme universitaire, j’ai trouvé un emploi chez PHILIPS, puis chez Siemens pour
         assister à d’inspection sur terrain des équipements des semi-conducteurs.
         Bien que j'aimais le triathlon, une activité que j'avais commencé à l'âge de 19 ans après avoir terminé ma
         formation professionnelle, et que j'avais un travail et une vie privée
         satisfaisants, j'avais toujours la pensée persistante d'aller un jour au Japon.
         
         Quand j'avais 29 ans, je savais que je devais agir si je voulais que quelque chose se passe alors j'ai commencé
         2 choses:
         D'abord, étudiez le japonais.
         J'ai appris le japonais grâce à un cours dans un centre communautaire dans Munich..
         Au début, je suivais des cours une fois par semaine, mais les progrès étaient lents et je ne me souvenais plus
         de rien, alors
         j’ai décidé de prendre des cours quotidiens.
         Grâce à ces cours, que j'ai pris pendant deux ou trois ans, mon japonais est devenu le plus avancé parmi tous
         les étudiants..
         
         Puis, travailler dans une entreprise japonaise.
         J'ai changé de travail et commencé à travailler pour Tokyo Electron.
         Bien que j'ai travaillé dans le service client des semi-conducteurs pendant 5 ans, et que j'ai communiqué avec
         le siège japonais en langue japonaise et que j'ai fait un voyage d’affaires au Japon, je n’ai pas pu travailler
         dans la branche
         japonaise.
         
         J’ai donc décidé qu’une société européenne affiliée au Japon offrait de meilleures chances de travailler au
         Japon,
         comparé à une société japonaise, j’ai donc changé de travail et commencé à travailler pour la société belge
         ICOS Vision Systems
         en tant que spécialiste produit pour les équipements de production de semi-conducteurs. J'ai travaillé dans les
         succursales allemande et taïwanaise
         et finalement, la filiale japonaise si désirée.
         
         Mais, juste après être venu au Japon, il a été décidé que la
         branche japonaise devait être suspendue.
         
         A cette époque, j'avais le choix de retourner en Allemagne ou de rester au Japon et j'ai choisi ce dernier sans
         hésiter.
         D'abord, j'ai toujours voulu venir au Japon, mais j'ai aussi remarqué quelque chose d'étrange au Japon...
         
         
         Je vivais dans un appartement, et quand l'été arrivait, la température de ma pièce était extrêmement chaude et
         je me demandais:
         "Pourquoi donc? Le Japon et l'Allemagne devraient avoir à peu près la même température...."
         
         Peu de Japonais le remarquent, mais les maisons japonaises ne bloquent pas le froid ou la chaleur.
         
         En même temps que je me demandais "Pourquoi les Japonais n’améliorent-ils pas leur logement?", j'avais un fort
         sentiment que je
         voudrait contribuer à l'amélioration du style de vie au Japon.
         Ainsi, la décision de rester a été rapidement prise.
      
         Après des mois de mon arrivée au Japon, la branche locale a été fermée et je me suis retrouvé au chômage.
         e voulais rester au Japon, alors j’ai fréquenté une école de langue japonaise tout en cherchant un nouvel
         emploi. 
         Je vivais de mes économies accumulées depuis ma venue
         
         Au début, je voulais trouver un emploi, mais de nombreux étudiants d'écoles de langue japonaise souhaitaient
         s'inscrire dans une université au Japon.
         Cela a également suscité de l’intérêt pour moi, alors j’ai consulté le consultant en carrières et j’ai cherché
         sur Internet.
         
         Environ 20 ans d'experience dans l’ingénierie de haute précision et les semi-conducteurs se sont écoulés depuis
         que j’ai reçu ma formation professionnelle à l’âge de 15 ans.
         J'avais confiance en mes capacités d'ingénieur, mais il est vrai que j'avais un parti pris pour cela, n'ayant
         passé tant de temps qu'avec la technologie.
         
         Je voulais essayer des affaires liées aux personnes.
         je ne voulais plus travailler pour quelqu'un, mais je voulais lancer mon propre projet.
         De plus, jusqu’à présent, j’ai toujours été entouré de machines et d'hommes, alors j’ai voulu un travail où je
         puisse rencontrer des
         femmes aussi (haha), alors je me suis concentré sur la recherche d’une école où je pourrais apprendre la
         gestion d’entreprise.
         
         Pendant que je cherchais diverses choses, j’ai trouvé l’institut de technologie de Shibaura
         appelée School of Engineering Management (MOT),
         la première école au Japon, qui se concentre sur la gestion de la technologie.
         
         Pensant que la fusion entre la technologie et de la gestion était le bon choix, j'ai décidé d'y aller
         
         J'ai pris des cours de nuit, alors pendant ce temps, je travaillais pour une société japonaise établie de
         longue date dans le secteur de la céramique et de la porcelaine.
         
         Ma raison de travailler là-bas était que la société était dirigée par des japonais et non par des
         étrangers.
         Venant enfin au Japon, je voulais connaître la culture d’entreprise japonaise et comme cette entreprise était
         fondée sous la dynastie ploutocratique Meiji, je pensais que celle-ci avait une histoire profonde et offrait
         des possibilités de contact personnel. 
         Dans cette entreprise, nous avons mené le développement des ventes de machines industrielles ainsi que la
         planification et la vente de nouveaux produits.
         
         Dans mon emploi précédent chez ICOS Vision Systems, bien que je travaillais dans la branche japonaise,
         j’utilisais principalement l’allemand, c’était donc la première fois que je travaillais dans un environnement
         exclusivement japonais.
         En parlant des Japonais, ils sont accros à leur travail. Véritablement des bourreaux de travail.
         J'avais l'impression que les Japonais travaillaient 24 heures sur 24/7, mais une fois arrivé ici, j'avais
         heureusement tort.
         
         En outre, puisque l'entreprise travaillait avec la céramique et avec l’idée de vouloir améliorer l’environnement résidentiel japonais , J'ai proposé à mon patron de me laisser travailler sur des éléments ceramiques, qui ont devenus un équipement standard
            dans les écologiques allemandes 
         .
         Mais, l'idée était rejeté pour la raison que les équipements d'économie d'énergie ne se vendent pas bien au
         Japon.
         
         Dans cette entreprise, je ne pouvais pas atteindre mes objectifs.
         Je pensais que si personne n'essayait d'améliorer le cadre de vie, alors je devais le faire.
      
         Avant de venir au Japon, j’étais toujours dans le domaine de la technologie, mais ensuite, je me suis
         spécialisé en gestion de la technologie et
         j'ai travaillé dans la planification des activités et des ventes dans une entreprise japonaise.
         
         Avec la volonté d’améliorer l’environnement résidentiel japonais et le fait de ne pas pouvoir le faire dans
         cette entreprise,
         J'étais déterminé de consacré tout ce que j'avais appris jusqu'à présent, notamment la technologie, la
         planification, les affaires et la gestion,
         lancer ma propre entreprise..
         
         Mais, lorsque je racontais aux gens mon projet de créer une entreprise de maisons écologiques, la plupart
         étaient fermement contre car ils pensaient que cela ne se vendrait pas bien au Japon.
         Néanmoins, le désir d'améliorer l'environnement résidentiel japonais, qui persistait toujours, même après 2.5
         ans, ne peut plus être réprimé.
         
         Bien que les gens s’inquiètaient toujours pour moi, J’ai décidé de créer mon entreprise à l’étranger.
         J'ai quitté mon emploi actuel et j'ai fondé Passiv Energie Japan à l’âge de 37 ans.
         
         Les gens avaient raison au début. Les produits ne se vendaient pas bien du tout. Mais, en participant
         fréquemment à des
         expositions et en jouant des comédies musicales japonaise afin de faire de la publicité et de faire des
         affaires régulièrement, nous avons pu augmenter progressivement le nombre de clients.
         Au début, je travaillais seul, mais je pouvais augmenter progressivement le nombre des employés.
         
         Les personnes qui étaient intéressés pour mes systèmes d'isolation et de transfert thermique venaient souvent
         de régions plus froides, comme Hokkaido ou Tohoku, et par consquent,
         J'étais souvent au nord du Japon.
         
         Quand le grand tremblement de terre a frappé le Japon le 11 mars 2011, j'étais à Kitami, Hokkaido.
         J'étais entrain de prendre un déjeuner tardif dans un restaurant Tonkatsu, la salle entière a soudainement
         commencé à trembler.
         L’Allemagne n’est pas dans une zone sismique, c’était donc ma première exeperience avec un tremblement de
         terre.
         
         Suite à la catastrophe nucléaire à Fukushima, l'ambassade d'Allemagne et mon père m'ont dit de rentrer,
         mais j'ai répondu que j'avais des amis et des clients au Japon, que je ne peux pas laisser derrière. 
         Le temps qui a suivi le séisme a été difficile. Il y a eu une crise à laquelle je ne pouvais pas m'habituer et
         je n'ai vendu presque
         aucun produits dans les mois suivants. Lorsque, j’ai vu comment des clients victimes de la catastrophe
         ont bien essayé malgré tout ce qui s’est passé, j’ai aussi senti responsable de surmonter cette crise.
         
         Au moment de la création de mon entreprise, j'ai importé des systèmes d’échange de chaleur de l’Allemagne et
         les vendais au Japon.
         de manière monopolistique.
         La vente de ces produits importés s'est avérée difficile, à moins de les rendre plus "user-friendly" et
         d'améliorer leur qualité.  Je voulais offrir de meilleurs produits, donc j'ai développé le
            "Seseragi.
         
         Même si le développement était une période difficile, développer une machine qui ajouter une
            fonction de prévention de la condensation qui n'existait pas dans le produit précédent, diminuer le bruit de
            fonctionnement et
            augmenter la quantité de ventilation; et le livrer aux clients  était une super expérience.
         
         Mon nouveau échangeur de chaleur doit transmettre le message de passer du temps confortablement dans un
         environnement frais,
         je voulais que le message soit facilement compris, alors je l’ai nommé "Seseragi", qui est un mot japonais
         poétique désignant un courant d'eau qui coule doucement.
         
         Les pièces utilisées dans le "Seseragi" sont principalement fabriquées au Japon,
         à l'exception du ventilateur, l'élément en céramique et le contrôleur, pour des raisons de qualité.
         
         Les fabricants japonais ont une bonne qualité et une rapidité de livraison élevée, et si nous pouvons acheter
         des pièces au Japon,
         on est moins sensibles aux fluctuations des taux de change même lorsque le yen s'affaiblira, et depuis
         On travaillait au Japon, donc on dépense de l’argent pour un fabricant japonais
      
         Au Japon, lorsqu’on achète une maison, beaucoup de gens ne se préoccupent que de la disposition, de l’apparence
         et du prix,
         négliger la chose la plus importante à considérer: la santé des résidents. Il est donc essentiel de
         prendre en compte les conditions thermiques, la qualité de l'air, le contrôle de l'humidité, ainsi que la
         prévention de la condensation et des moisissures. 
         Une bonne ventilation est nécessaire pour améliorer ces fonctions de base.
         
         Dernièrement, l'étanchéité à l'air des maisons a été améliorée, ce qui rend difficile la fuite de la
         température ambiante,
         mais d'un autre côté, la pièce a tendance à accumuler de l'humidité, ce qui augmente le risque de condensation
         et de développement de moisissures.
         En outre, lorsque l'étanchéité à l'air est élevée et que les matériaux de construction ou les meubles
         contiennent des produits chimiques, la
         concentration de substances chimiques à l'intérieur augmenter, contaminant l'air, ce qui peut nuire à la santé
         de tous les résidents. J'appelle une telle maison "maison malade".
         
         Au Japon, la loi sur les normes de construction a été révisée afin de réduire la concentration de substances
         chimiques à l’intérieur des maisons malades
         et disposer d'un équipement de ventilation est devenu une obligation.
         C’est pour cette raison que d’autres sociétés proposent désormais des systèmes d’échange de chaleur, mais elles
         se concentrent principalement sur les conduits plutôt que sur les systèmes sans conduit.
         Lorsque les canaux se salissent, l’air qui circule dans les pièces le devient également. Les systèmes de
         tuyauterie sont compliqués
         et ne peuvent pas être nettoyés, donc même s’ils sont correctement installés, les tuyaux s’obstruent avec de la
         saleté et le système
         cessera de fonctionner correctement 3 ans après l'installation.
         Je ne peux pas croire que vous ne pouvez pas utiliser une machine même si elle est correctement
         installée.
         
         Vous pouvez également penser que, pour maintenir l’air pur, vous pouvez simplement ouvrir les fenêtres ou
         utiliser un purificateur d’air.
         l’ouverture des fenêtres permet l’entrée de la poussière, des insectes, du pollen et des PM2,5, ou de tout
         autre élément indésirable.
         et en plus de cela pose un risque pour la sécurité, car des cambrioleurs ou d’autres personnes suspectes
         obtiennent un accès plus facile.
         C'est pourquoi je ne peux pas recommander l'ouverture des fenêtres pour la ventilation.
         De plus, alors que les purificateurs d’air sont pleins de surprises, ils génèrent souvent de l’ozone (O3)
         pendant leur fonctionnement.
         L'ozone non seulement il oxyde le corps humain et accélère ainsi son vieillissement, mais augmente également le
         risque de cancer.
         En ce qui concerne le nettoyage de l'air, je ne peux pas pardonner les effets nocifs que des substances comme
         l'ozone ont sur la santé et la beauté humaines.
         
         Ce qui me préoccupe le plus, c’est que les ventes bon marché deviennent la norme dans le secteur de
         l’habitation.
         
         Pour construire une maison à moindre coût, il est nécessaire d’utiliser des matériaux peu coûteux ou de réduire
         le coût de traitement de ceux qui participent à la construction.
         Si cela conduit à une construction plus efficace, ce sera peut-être une bonne chose, mais si vous omettez
         accidentellement une exigence, cela va se retourner contre les résidents.
         En conséquence, les maisons deviennent inconfortables et, dans le pire des cas, nuisibles pour les
         habitants.
         
         Il est facile de changer de cuisine ou de chambre stockage même après avoir construit une
            maison, mais il est très difficile de changer les performances de base telles que
            l'environnement thermique, la qualité de l'air, le contrôle de l'humidité, la prévention de la condensation
            et le contrôle de la moisissure dans la maison
            Alors je ne joue pas avec ça.
            Ces fonctions de base affectent immédiatement la santé des personnes.
            Le système de ventilation à échange de chaleur «Seseragi» développé par moi peut contribuer à l'amélioration
            des fonctions de base d'un logement.
         
         Le Japon est un pays leader en technologie et en production.
         J'utilise des enregistrements vidéo japonais depuis mon enfance et des produits "made in Japan"
         donc cela me donne l'impression d'être de bonne qualité.
         
         Quel que soit l'endroit où vous vous rendez dans le monde, vous pouvez obtenir des produits japonais tels que
         des voitures, l'électroménager, des aliments, etc.
         mais je n’ai jamais vu de maison de fabrication japonaise en dehors du Japon.
         Au Japon, il existe de nombreux "grands constructeurs d'habitations" que tout le monde connaît bien, mais
         malheureusement,
         Le logement japonais ne répond pas aux normes mondiales.
         
         L’achat d’une maison est le plus cher des investissements de toute une vie et cela me concerne
         qu'au Japon, il n’y a que quelques personnes qui font du bon logement une nécessité et que la
         connaissance et technologies dans ce domaine ne sont pas répandues. 
         
         Une maison est un lieu de paix où vous pourrez vous reposer.
         Je veux que vous sachiez l'impact de la maison sur les gens et je veux rendre les foyers sûrs et sécurisés plus
         répandus.
         
         Avant d'acheter une maison - l'investissement le plus cher de votre vie -, veuillez me contactez.
         Je suis certain de pouvoir vous aide
         
         Je veux que vous bénéficiez de mon réseau personnel, mes connaissances et mon expérience.!
         
         Ma mission est de transmettre les connaissances appropriées sur le cadre de vie dans tout le
            Japon.
            Ce que je veux vous dire à travers le "Seseragi", c'est que je veux que vous viviez dans une bonne maison.
            J'ai conçu le "Seseragi" afin de transmettre ce sentiment
         
         J'espère qu'on aura de bonnes relations à partir de maintenant.
      
On est concerné par l'environnement, et on croit que les humains peuvent coexister avec la nature, et on travaille dur sur notre objectif de créer une maison très confortable sans nuire à l'environnement.
         Depuis la nuit des temps, on raconte que le Japon avait 8 millions de dieux partout: dans les montagnes,
         la mer, les forêts, les rivières, les maisons, le feu, l'eau et la nourriture.
         Il s’agit d’honorer les dieux pour la récolte, de remercier les agriculteurs pour leurs efforts et de souhaiter
         une vie paisible.
         
         Si cela est remplacé par de l'énergie, un Joule [J], la plus petite unité, peut être comparé à un grain de riz.
         Dans la société future, l’utilisation d’énergie active (électricité, gaz, pétrole, etc.) devrait être
         minimisée, sinon
         les sources d'énergie naturelles seront épuisées. Si chaque peu d’énergie est traité avec importance et si
         chaque Joule est soigneusement économisé, une grande quantité d’énergie peut être accumulée, contribuant à la
         réduction des émissions de CO2, réduction des coûts et une vie confortable, coexistant avec la nature. 
         
         Vous pouvez comparer 1 Joule à 1 grain de riz.
      
Cela exprime de la gratitude au dieu de l'énergie qui, en prenant soin de cette énergie, récupère chaque Joule avec précaution et le rend utilisable longtemps.
         Depuis toujours, les Japonais vivaient en harmonie avec la nature dans leur environnement social, valorisant
         vêtements, nourriture et abri, et les ont réutilisés avec succès.
         Jusqu'à la période Edo, c'était une société de recyclage idéale sur le plan environnemental qui utilisait
         uniquement de l'énergie provenant de la nature, ne produisait pas de déchets et utilisait même l'urine comme
         engrais.
         Cette excellente tradition japonaise a le potentiel de devenir la base d’une société de l’énergie passive qui
         protège
         l'environnement global. Il peut s'appuyer sur des technologies environnementales de pointe et faire du Japon le
         leader mondial
         en matière d’environnement, attirant toute l’attention internationale
      
         Avec les systèmes de climatisation classiques, la température confortable, ainsi que l’énergie utilisée pour
         faire fonctionner
         les machines se dissipent lentement vers l'extérieur.
         La même chose avec les voitures: l'énergie créée par le moteur est perdue lors de la rupture. Cependant, les
         voitures hybrides profitent de la pause et la convertissent de nouveau en force.
         L’utilisation de l’énergie passive est l’application du principe de la voiture hybride à une maison, en gardant
         la température
         de la chambre à un niveau confortable sans dispositif de chauffage et de refroidissement puissant et sans
         dissiper la
         température ambiante inutilement. C’est une excellente technologie qui sera désormais le principe de
         la création un espace de vie confortable avec 10% d'énergie en moins que les maisons classiques.
         
         n autre exemple est une théière comparée à un thermos..
         Afin de garder le thé au chaud, les théières doivent être alimentées en continu en énergie.
         Même avec une efficacité énergétique accrue, la perte de chaleur restera la même et l’effet d’efficacité accrue
         ne pourra pas être exploité.
         Le thermos, par contre, conserve l’énergie initialement insérée pour longtemps. Grâce à la faible perte de
         chaleur,
         Il est possible de maintenir une température uniforme même si la source de chaleur était petite.
      
Une théière utilisant le principe de l'énergie actif
Un thermos utilisant le principe de l'énergie passif
 
       
         